Valdis d'Orfeo ~ Commandant dans l'armée Terrienne [Validée]

Identité



Nom / Prénom :
Vicomte Valdis Vespera d’Orfeo.

Surnom :
Les seuls surnoms qu’il autorise les autres à lui donner son ses titres, de noblesse ou d’officier. Ce qui donne au choix, Vicomte Valdis, Commandant Valdis, Commandant tout court… ou encore Monsieur d’Orfeo. Allez savoir ensuite comment on appelle cette peau de vache dans son dos… à coup sûr rien qui ne lui plairait. Ses amis l'appellent aussi Vesper' et les inconscients peuvent toujours tenter Valdy.

Date de naissance :
13 janvier

Age :
Trente-deux ans
Statut :
Commandant
Race :
Terrien

Sexualité :
Seme. Pour en faire un ambi, il faudra se lever tôt et s’il prend un jour le rôle d’uke, se sera probablement contraint et forcé.



Photogénie


Corpulence :
Un mètre quatre-vingt cinq pour soixante-quinze kilos.

Allure :
Dieu que cet homme est grand et qu’il aime vous toiser de toute sa hauteur. Mince, sa silhouette élancée est un modèle de tenue et de glaciale séduction. Tout en courbes et en muscles durs, forgés par l’entraînement physique rigoureux des militaires, le Commandant dégage une aura souveraine liée autant à son allure qu’à son caractère. Sa démarche est rigide et élégante, martiale mais accompagnée d’une sensualité dérangeante.
C’est troublant de voir se mouvoir ses hanches souples au délié gracieux, ou encore ses longs cheveux - si clairs qu’ils en paraissent blanc ou argentés selon l’éclairage – onduler au gré de ses mouvements au dessus d’une chute de rein dont la cambrure naturelle est tout à fait indécente. Sa taille étroite et marquée, moulée dans l’uniforme cintré de l’armée, laisse planer le doute quant à sa nature masculine. Pourtant la fermeté de son torse, la droiture de ses épaules et le masque supérieur, limite méprisant, de son visage font que l’on sait avoir affaire à un homme.
Même si son minois justement est tout en finesse, ses traits sont tranchants, aristocratiques et d’un charme frigide. Ses expressions lui donnent un air insensible, lointain et arrogant. Son regard gris perle ne s’embrase que lorsqu’il lui est donné l’occasion de contempler la soumission et la douleur d’autrui, de même que ses lèvres féminines, d’un rose chair givré, ne s’animent que de moues sadiques ou sarcastiques, demeurant le reste du temps presque pincées en une attitude hautaine.
Jambes tout en longueur, pas strict et royal, tenues démontrant soit son appartenance à l’armée soit ses origines au sang bleu, le jeune commandant ne semble pas quelqu’un qui connaisse le terme fantaisie. Détrompez-vous cependant, ce mot à un sens bien particulier chez lui, mais nous y reviendrons au chapitre traitant de sa psyché. Que dire encore à propos de l’aspect physique du Vicomte ? Ses mains sont de celles dont les pianistes usent pour caresser les touches d’un clavier, agiles et pleines de grâce, douces contrairement à la manière dont il en use. De longs ongles terminent ses doigts, dont il aime jouer sur l'épiderme pour en découvrir les limites de résistance et la sensibilité de celui sur qui ils se posent. Sa peau ne porte pas d’imperfection et sa carnation est de porcelaine, délicieusement rosée. Il prend grand soin de son apparence, soignant sa mise en toutes circonstances, allant même jusqu’à épiler le moindre poil disgracieux, cela incluant la taille de ses sourcils en un arc d’où rien ne dépasse de la ligne sobre en léger accent circonflexe qu’il aime à leur donner. Son habitude de hausser le sourcil accentue très souvent leur courbe d’ailleurs.

Goûts vestimentaires :
L’uniforme est l’habit qu’il revêt le plus quotidiennement. Ensuite, ses goûts le poussent vers le cuir, le blanc ou le noir selon l’humeur et les évènements, les coupes ajustées mettant en valeur sa physionomie androgyne. Les matières nobles comme la soie ou le cachemire ont également ses faveurs et il n’est pas rare qu’habillé en civil, le militaire dévoile une épaule, le creux de ses reins ou n’enveloppe son séant ferme et arrondi dans un pantalon qui le colle au point d’interdire le port de sous-vêtements. Valdis va parfois pousser le vice et l’extravagance jusqu’à se vêtir dans un style qu’on pourrait qualifier de fétichiste, ses frusques étant alors provocantes et vernies, en latex ou en vinyle, bardés de chaînes ou de boucles. Les bottes sont les seules chaussures qu’il admet, généralement montantes, de cuir lustré, impeccablement cirées, à lacets et flanquées de métal.

Signe distinctif :
Notre petit soldat affectionnant des jeux particuliers, se retrouve fréquemment la peau marquée par des griffures ou des traces de morsures. Mais elle s’orne aussi de pierçings (tétons et nombril), dissimulés à la vue en temps de travail ainsi que d’un tatouage prenant tout son dos : un serpent s’enroule autour de ses hanches, ondulant depuis sa taille, passant de part et d’autre le long d’une reproduction des os de la colonne vertébrale, pour finir sa course par-dessus son épaule droite, sa gueule reposant en biais sur son muscle pectoral. Les yeux de la bestiole sont rouge sang, tandis que sa peau écailleuse est d’un noir luisant.



Rapport de Psychologie


Généralité :
Infernal. Froidement cruel, le Commandant n’aime que peu de choses. La liste exhaustive de ce qui lui donne du plaisir ou le motive se résume au pouvoir et aux avantages que celui peut amener. D’un caractère dominateur et dénué de compassion, il fait merveille en tant que haut-gradé tyrannisant ses sous-fifres. Se faire obéir et même abuser de son statut est devenu une seconde nature, une partie de son travail parmi celles qu’il affectionne le plus et presque un loisir pour lui. Rigoureux et insensible, c’est une main de fer dans un gant recouvert de papier de verre. N’attendez aucune douceur ni la moindre trace de sympathie venant de cet individu, ce serait pure utopie. Conscient de son rang, le Vicomte entend qu’on soit à sa disposition et que ses ordres soient scrupuleusement respectés, le tout sans délais. Sans cela, vous lui donneriez l’extrême et délectable plaisir de vous infliger les punitions d’usage… auquelles il ajoutera volontiers sa créativité, les pimentant hors de vue de traitements de faveur tout à fait personnels.
L’homme est fou, tenez vous le pour dit. Pas atteint d’une de ces déviances mentales qui rendent hystérique ou délirant, mais plutôt d’une tendance présentant quelques caractéristiques des sociopathes : profondément narcissique, l’égoïsme est sa première doctrine et il ne se plie que par utilité à sa hiérarchie. Si Valdis accepte leur ascendant sur lui, c’est uniquement parce que l’armée lui permet d’assouvir sa soif de commander et que son ambition le pousse à gravir les échelons jusqu’à un jour atteindre le sommet de la pyramide. Le remords et la culpabilité, l’empathie ou la bienveillance lui sont des notions inconnues. Mentir, manipuler, user du sarcasme et de la violence, ça par contre, il en maîtrise les gammes et leurs nuances sur le bout des doigts.
Le dédain est la seule forme de considération qu’il montre envers ses compagnons, ne donnant l’illusion du respect à ses supérieurs que par intérêt personnel. La moindre frustration lui est insupportable, le mettant aisément dans une colère noire qui le mène à des comportements sadiques, allant de la simple humiliation mentale jusqu’à briser quelqu’un physiquement… et avec application. Le Commandant est un prédateur, qui ne cesse de s’ennuyer que lorsqu’il engage un combat avec autrui visant à se l’approprier corps et âme. Intelligent et doté de par son éducation d’une solide culture, il n’a aucun mal à soutenir des conversations longues et apprécie de pouvoir débattre sur des sujets divers. Esthète et épicurien, le soldat aime tout ce qui touche à la chair, que se soit les bons plats, les vins ou liqueurs fines ou encore entendu les jouvenceaux, bien entendu.

Vices :
Ce chapitre prendrait toute une page de gazette si on voulait lister par le menu les addictions et déviance de ce sombre individu. Prenons les péchés capitaux dans l’ordre et voyons en quoi il les pratique et avec quel enthousiasme.
Paresse ? En dehors du travail, quelque fois et de part ses origines, il est largement habitué à ne pas se salir les mains ou lever le petit doigt, ainsi qu'à se faire servir. Orgueil ? Totalement, sa personnalité fait qu’il se vouerait un culte à lui-même s’il le pouvait et Narcisse aurait pu être son prénom.
Gourmandise ? Oui, l’homme aime consommer à outrance les êtres qui attirent son attention et cela arrive souvent. Il boit, fume et consomme substances illicites sans modération, en veillant tout de fois à ne pas se faire aligner par sa hiérarchie ou repérer lors d’un bilan de santé.
Luxure ? Le Marquis de Sade ou le Vicomte de Valmont sont ses modèles avoués. Avarice ? En quelque sorte, puisque tout ce qu’il recherche n’est jamais destiné qu’à le combler.
Colère ? Valdis s’emporte souvent et sans aucune notion des limites en ces cas là. Envie ? Ambition dévorante, chasse constante de gibier pour satisfaire ses appétits… dans ce domaine là aussi il rejoint le clan des damnés.

Aime :
Ordonner et se faire obéir, mater les fortes têtes, infliger toute sorte de sévices sous couvert de la loi martiale et du droit que lui confère son poste, la musique classique et les arts en général, jouer du violon, lire, le vin rouge et la vodka, être en bonne compagnie au lit ou en dehors selon ses envies, fumer des cigarettes à l’odeur vanillée, le sang et son parfum entêtant, les relations conflictuelles, la pluie et les orages …
Aime pas :
Être en position de faiblesse, les personnes droites, optimistes et idéalistes, le jaune, les Ericanniens qu’il considère comme des bouseux juste bon à cirer les bottes des Terriens, être diminué par une blessure ou la maladie, les superstitions stupides et les traditions archaïques qui ont court sur la planète, le côté technologiquement arriéré d’Erica, …
Sociabilité :
Volontiers sociable, mais d’une façon totalement hypocrite et sous le vernis des apparences, il n’éprouve que de l’ennui ainsi que du mépris pour les conventions sociales. Se trouver dans une soirée ou autre l’irrite profondément mais il jouera les convives charmants pour satisfaire son besoin de parait et d’être vu, en même temps que son besoin de séduire, de chasser. Il ne sera pas rare de l'apercevoir dans les réceptions officielles ou les dîners.

Histoire

Passé :

Le Diable choisit ses héritiers avec soin et l’être apparemment innocent qui naquit au cœur de l’hiver sur les terres froides du Danemark retint toute son attention. Tant de délicatesse qu'il serait plaisant de pervertir à ses yeux gris perçants, ouverts sur le monde extérieur avec au fond de leur clarté une vive curiosité et quelque chose d’indéfinissable qui mit invariablement mal à l’aise ses nourrices et ses percepteurs toute son enfance durant. Gâté au-delà de toute notion du raisonnable, rien ne le satisfaisait, le môme était intenable, en demandait toujours plus et fort de sa noble origine, montrait déjà le plus parfait mépris envers les employés de maison qui étaient aux petits soins pour lui où qu’il se trouve dans le domaine familial. Quant il n’arrivait pas à dormir, à grand renforts de cris et d’injonctions impérieuses, Valdis était capable de réclamer que son valet imite le chien à trois heure du matin et jusqu’à ce que cela le lasse. L’ennui le prenait rapidement, ses fantaisies pour le tromper devenant de plus en plus extravagantes à mesure que le jeune aristocrate grandissait. Brillant, les leçons de langues, de musique, d’équitation, de danse ou d’escrime ainsi que la littérature et le maintien étaient vite assimilées, ses tuteurs dépassés. La philosophie eut longtemps ses faveurs et il dévora les œuvres des grands penseurs, se forgeant une éthique et une morale toutes personnelles. Qui pouvait, une fois l’adolescence atteinte, se résumer en ces termes : " Mon bon plaisir est souverain et aucune limite ne saurait s’imposer à moi".

A cet âge, le jeune homme fit l’apprentissage de l’Art délicat et démoniaque de la séduction et du libertinage, au contact de la haute société qui s’adonnait aux plus joyeuses débauches derrières les tentures précieuses de leurs élégantes demeures. Hommes et femmes, de son âge ou plus vieux, rien ne le déroutait, pas même les pratiques les plus extrêmes. Au contraire, se fut celles-ci qui finirent par devenir ses habitudes. Fasciné par la personnalité sulfureuse et les audaces de personnages historiques comme le Marquis de Sade, le futur Vicomte passait son temps à transgresser avec délectation les interdits et les tabous. Sans aucune honte ou discrétion d’ailleurs, ce qui valu à sa "génitrice" de se faire un sang d’encre pour la réputation familiale. Au point que lorsque la rumeur selon laquelle son fils avait abusé d’une jeune héritière qui devait se marier sous peu et que de son acte déjà odieux en lui-même, elle se trouvait engrossée, les limites lui parurent suffisamment bafouées pour que le maternel en réfère à son époux et lui demande séance tenante de trouver de quoi calmer leur ingérable progéniture. On paya grassement la famille de la jeune femme afin de s’assurer leur démenti ainsi que l’éradication du futur bâtard, dans un premier temps. Quant à Valdis, il fut éloigné du domaine et envoyé à l’école militaire en Allemagne.

C’est l’année de ses dix-huit ans qu’il entra directement à l’école des sous-officiers, relations obligent. Allait-il enfin se comporter d’une manière jugée digne par son milieu d’origine. Rien n’était moins sûr et les rapports qui arrivaient chaque mois au domaine faisait état d’une recrue indisciplinée, refusant l’autorité et régulièrement envoyée au mitard pour tenter de mater sa tendance à l’insurrection. La forte tête faisait pourtant merveille dans des domaines comme la stratégie militaire ou encore les performances athlétique. Ses grades, il les passa haut la main à partir du moment où il comprit l’intérêt d’obéir pour s’élever dans la hiérarchie. Alors il gravit rapidement les échelons, passant Major à vingt-deux ans, puis élève-officier l’année suivante.

Cinq ans plus tard, le Vicomte d’Orfeo était Commandant. Avec les honneurs et les félicitations personnelles du Général de Division en poste. C’est l’année où il fêta son trentième anniversaire qu’il se vit sélectionné pour une mission pilote, destinée à explorer et conquérir une planète qui paraissait propice à l’épanouissement de la race, car semblable sur quelques points essentiels à celle qu’ils sur-peuplaient au point de l’asphyxier. L’urgence était de trouver une future terre d’asile pour la population terrienne et le choix se porta sur Erica et ses contrées presque sauvages. Embarquant à bord de la première flotte détachée en partance pour cet univers inconnu, le Commandant Valdis fut parmi les pionniers qui découvrirent les richesses et la splendeur de l’endroit. Et qui mirent à feu et à sang nombre de leurs villages, pillant, tuant et se payant en chair et en alcool dès que l’occasion se présentait. Peu importait le comportement déplacé, violent et barbare qui était plus que monnaie courante dans les rangs de l’armée terrienne sur Erica, leurs supérieurs étaient satisfaits, la conquête de la planète avançait et rien ne paraissait pouvoir les arrêter.

Deux mois en arrière, le Commandant se porta volontaire pour assister le Général dans la difficile opération visant à atteindre un point isolé d’Erica, enclavé dans les eaux traitresses et profondes qui couvrent la majeure partie de la planète. A la tête d’un escadron, qui essuya de terrible pertes d’effectif tout comme les autres, il finit par rallier Alimia. Depuis, son temps est occupé entre les ordres et missions militaire et la vie nocturne de la cité. La lutte pour la domination des lieux n’est de loin pas achevée et le jeune homme compte bien y prendre une part active, voire en réalité se délecter de la main basse que les terriens entreprennent de mettre sur la belle et paisible Alimia, ne reculant devant aucun stratagème ou aucune méthode pour permettre aux siens d’assoir leur domination sur les Ericanniens.
Au contraire, si gagner la bataille nécessite de se montrer violent et vicieux, cela n’en sera que plus excitant et motivant pour lui… la Paix étant quelque chose de fort ennuyeux et méprisable à ses yeux, n’existant que pour être violée et détruite sans pitié ni remords.

Famille :
Père allemand répondant au nom d’Albrecht Heike von Dresden, Vicomte d’Orfeo. Décédé et lui ayant laissé l’héritage d’une coquette fortune, qui n’attend que le trépas de sa chère mère pour s’enfler de la seconde moitié des biens paternels.

Côté "maternel", le compagnon du Vicomte est un aristocrate originaire du Danemark, nommée Anessa Karol d’Asger. Il entretien des relations étroites avec son fils unique et d’aucun se demandent s’il n’y aurait pas matière à des ragots croustillants pour peu que l’on fouille un peu ses affaires personnelles et son passé.


Hors sujet


Votre présence sur le forum sera : Relativement régulière normalement, sauf soucis que je signalerai s’ils m’empêchent d’être là.
Votre avis sur le forum : Et bien il me plait beaucoup, sans quoi je n’y serais pas ! Peut être que décrire un peu plus les coutumes et l’environnement de vie qu’est Alimia pourrait aider les joueurs, mais en dehors de cela, rien à signaler pour ma part. =]
Autre forum fréquenté : The Lost Society, Angel House, Istravel, …
Niveau de jeu : Normalement pas trop mauvais :3

O_O magnifique, j'ai adorée t'as fiche ^^

Par contre, quand tu dis mère, jeune femme ... Façon de parler ou tu a oublié qu'il n'y avait aucunes femmes existantes dans l'univers ???? Juste ce petit détail à modifier ou à me certifier (que c'est juste façon de parler) et je te valide ^^ Avec une fiche aussi bien j'ai pas le choix

Je te remercie pour le compliment :3

Aaaaah crap ! Ce n'est pas que j'ai oublié, ni façon de parler pour la mère, c'est que j'avais mal lu. J'avais lu que sur Terre, ok il y avait hommes et femmes tandis que sur Erica... Je vais changer ça de ce pas. ^^ Ça m'apprendra à écrire mes fiches à pas d'heure

De rien ^^

Oki, pas de souci ne t'en fait pas ^^ Je te Valide et compte sur toi pour changer

Tout est en ordre pour la fiche, normalement ^^
Merci encore !

De rien ^^